• Réunion de section pour la validation de la liste aux élections européennes

    Jeudi 21 novembre

    Salle des fêtes de la Mairie de Clamecy

    Infos en ligne ici

     

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  • Dans le cadre de la validation des listes pour les prochaines Elections Européennes, tu trouveras ci après la liste définitive pour notre circonscription "EST" qui sera soumise jeudi 21 novembre au vote des militants.

    CIRCONSCRIPTION EST
    (Alsace / Bourgogne / Champagne-Ardenne / Franche-Comté / Lorraine)


    LISTE ORDONNEE DES CANDIDATS SOCIALISTES TITULAIRES ADOPTEE PAR LE CONSEIL NATIONAL DU 16 NOVEMBRE 2013

    1 – Catherine Trautmann
    2 – Pierre Pribetich
    3 – Sophie Radreau
    4 – Jérôme Durain
    5 – Annie Flores
    6 – Nicolas Marandon
    7 – Catherine Hoffarth

    8 – Jean-François Thomas
    9 – Myriam Elyassa


    T'en souhaitant bonne réception, 
    Amitiés socialistes, 
    Le 1er secrétaire fédéral,  Sylvain MATHIEU, 
    Les secrétaires fédéraux aux élections,  Elisabeth GAUJOUR et Didier BOULAUD, 
    Les secrétaires fédéraux aux questions européennes et internationales,  Paule GAUTHE-RANTY et Sébastien POUPON 

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  • Compte rendu du Conseil national  aux élections européennes.

    10h, début du Conseil national

    Christophe Borgel ouvre ce Conseil national avec les têtes de listes aux élections européennes. Il fait lecture des listes proposées dans les sept circonscriptions métropolitaines.

    Propositions de listes inter-régionales pour les élections européennes :

    • Nord Ouest : la liste sera menée par Gilles Pargneaux avec Claude Roiron et Jean-Louis Cottigny
    • Ouest : la liste sera menée par Isabelle Thomas avec Emmanuel Maurel et Françoise Mesnard
    • Est : la liste sera menée par Catherine Trautmann avec Pierre Priebetich
    • Sud Ouest : la tête de liste sera une femme, issue du PRG. Elle mènera la liste avec le socialiste Eric Andrieu
    • Sud est : la liste sera menée par Vincent Peillon avec Sylvie Guillaume et Zaiki Laïdi
    • Massif central centre : la liste sera menée par Jean-Paul Denanot avec Karine Gloannec-Maurin
    • Ile-de-France : la liste sera menée par Harlem Désir, avec Pervenche Bérès et Guillaume Balas,
    • Les circonscriptions d'Outre-mer seront débattues lors d'une prochaine réunion en raison des spécificités des modes de scrutin de ces circonscriptions.

    Nous avons la volonté d'ouvrir nos listes a des personalités de la société civile.

    Ces listes seront ensuite soumises au vote des militants, dans chaque section le jeudi 21 novembre et devront être validées par la convention nationale qui se tiendra le 7 décembre. Les élections européennes ont lieu le 25 mai.

    10h30 : début du débat sur les têtes de liste

    Certains titulaires du Conseil national expriment leurs inquiétudes sur les têtes de listes, en soulignant la difficulté pour mobiliser des militants autour de candidats non socialistes (Sud-Ouest). D'autres titulaires, soulignent leur volonté de modifier l'équilibre de la liste en raison de la pondération du poids des régions (Sud-Est).

    Juliette Méadel souligne la nécessité de rassemblement du parti

    Marianne Louis est intervenue à la tribune, elle souligne la fracture qui traverse la France et la nécessité pour la gauche d'aller de l'avant

    Gilles Pargneaux : «nous ne devons pas penser être toujours seuls dans le débat, nous avons des partenaires qu'il faut respecter» «ces listes sont équilibrées, elles sont le renouvellement et elles sont aux couleurs de notre parti»

    David Assouline : Par ses enjeux, cette campagne marquera l'histoire, car «les forces politiques dominant en Europe sont celles qui veulent détruire l'Europe», il faut un vote le plus large possible. «Globalement, le PS, y compris dans sa diversité, territoriale et idéologique, est au rendez-vous de ces listes».

    Suite au débat les propositions de listes inter-régionales pour les élections européennes sont validées par le Conseil national : POUR 103 CONTRE 27 Abstention 6

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    Il y a les maires qui abandonnent la réforme des rythmes. Ceux qui jurent leurs grands dieux que jamais ils n'appliqueront la loi. Et puis il y a ceux qui l'appliquent ou qui se préparent à l'appliquer. Le 14 novembre, la Gazette des communes a invité les représentants des communes à participer à un colloque sur la réforme des rythmes. A quelques jours du congrès des maires, les grandes associations ont manifesté leur soutien à la réforme.

     

     

     

    "Là où ça va bien c'est vraiment l'école de demain. Et ça réussit aux enfants".  Ces propos de Pierre Régnault, président de l'association des villes moyennes et maire (PS) de La Roche sur Yon, expriment les sentiments des élus présents au colloque organisé par La gazette des communes. Toute la journée ils ont manifesté leur intérêt pour la réforme et échangé sur les difficultés rencontrées. Car celles-ci ne les découragent pas.

     

     

     

    Pourtant, d'entrée de jeu, un sondage réalisé par la Gazette a mis en évidence que l'application des nouveaux rythmes est "douloureux" pour 2 élus sur 3. Ce qui leur pose problème c'est la difficulté à trouver des animateurs ou l'obligation à réorganiser les services bien avant les conflits. Un maire sur trois a des difficultés avec les parents, un peu moins avec les enseignants. La même enquête révèle que 13% des maires n'ont procédé à aucune concertation sur les rythmes; un sur 4 n'a jamais consulté les parents et un sur trois les enseignants.

     

     

     

    Une première table ronde d'élus a fait apparaitre les difficultés rencontrées. Jacques Salvator, maire d'Aubervilliers, explique comment , pour avoir cru être "dans le vent de l'histoire" il se retrouve face à un mouvement social important chez les enseignants et largement médiatisé. Pourtant le taux de fréquentation des activités périscolaires est élevé et cela rejailllit sur la cantine et le centre de loisirs dont la fréquentation a augmenté de 40% "Finalement les enfants ne sont pas si fatigués qu'on le dit", glisse-t-il. Philippe Relin, adjoint au maire d'Eragny souligne la difficulté à recruter des animateurs. La réforme devrait créer 300 000 emplois d'animateurs. Il y a donc un problème de formation, le bafa ne semblant pas suffisant. Le maire de Langeais, Pierre Alain Roiron, soulève le problème de la concertation avec les enseignants. "Quand ça ne se passe pas bien avec les enseignants, alors ça ne va pas aussi avec les parents", avertit-il. Dans sa commune, l'école élémentaire participe aux activités périscolaires mais ça se passe moins bien avec l'école maternelle et du coup les parents  sont eux aussi mécontents. La question financière n'apparaît pas comme un problème.

     

     

     

    La seconde et la dernière table ronde réunissent des représentants d'associations d'élus ou de personnels des communes.  Yves Fournel, président de l'association des maires des grandes villes et de l'Appel de Bobigny, estime qu'on a sous estimé la question financière. Il demande un financement pérenne par l'Etat. Mais le plus gros échec c'est la concertation. "Il faut vraiment consulter la base" affirme P Bron, maire  adjoint de Grenoble. Consulter les responsables ne suffit pas. Il ne suffit pas de voir les directeurs il faut aussi interroger les professeurs directement. Il ne suffit pas de voir les responsables des associations de parents d'élèves, il faut parler directement avec les parents. Autre problème évoqué , celui de la maternelle. Son temps devrait être différent de celui de l'élémentaire. C'est là où il y a le plus de tension entre enseignants et animateurs. C'est là aussi où les parents sont le splus exigeants. La question de la concertation entre enseignants et animateurs est aussi évoquée. Aujourd'hui, à la grande surprise des élus, elle ne fonctionne pas alors qu'elle semble indispensable.  

     

     

     

    Comment soutenir la réforme et la faire avancer ? Eric Favey, secrétaire général de la Ligue de l'enseignement, est en colère devant les difficultés de la réforme. Il met en cause les médias dans l'exploitation de la crise.  Anne-Sophie Benoit , secrétaire générale de l'Andev et Vannick Berberian, secrétaire général de l'association des maires ruraux, jugent le décret maladroit. "C'est une mise au pas des communes", tellement il encadre l'action communale, dit AS Benoit. "Il faut oser la décentralisation", ajoute V Berberian. Il demande du temps pour passer aux nouveaux rythmes. Mais c'est là peut-être ce qui manque le plus dans le contexte actuel à l'action des élus.

     

     

     

    En mettant sur la table les problèmes rencontrés par les élus, le colloque a mis en évidence le soutien des participants à la réforme. Il a aussi démontré l'impréparation des élus pour faire face aux problèmes. Alors que l'on prépare la réforme des rythmes depuis 2008, les problèmes financiers et humains n'ont pas été anticipés par les associations d'élus. Du coup la réforme crée moins de problèmes qu'elle n'en révèle, estime P Bron. A quelques centaines de mètres le cortège des enseignants grévistes parisiens s'ébranlait...

     

     

     

    Source : "François Jarraud" in http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/11/15112013Article635200997386269720.aspx

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