• Les membres de la liste « Objectifs Clamecy » soutiennent les élus et la population qui se sont vigoureusement opposés au recul de l’offre TER sur notre territoire.

    Lors de la dernière campagne nous n’avons cessé de plaider pour une amélioration des transports collectifs moins polluants, moins dangereux et moins coûteux pour les collectivités traversées.

    Grace à l’amélioration des offres des TER, les habitants du haut-nivernais ont retrouvé l’habitude de prendre le train pour se déplacer vers Paris.

    La politique comptable de gestion du réseau ferré amène un déplacement de nos trains vers d’autres régions bourguignonnes soi-disant moins bien loties.

    « Déshabiller Pierre pour donner à Paul » n’est pas la solution la plus adéquate au moment du regroupement des régions et risque d’entraîner de fait un sentiment d’abandon du territoire du Haut-Nivernais par la capitale régionale.

    Des études montrent que le remplacement du train par des cars sur des portions de trajet fait fuir les usagers et les incite de fait à reprendre leur véhicule personnel.

    C’est ce qui nous attend si les projets d’arrêt sur les gares de Cuzy et Coulanges sur Yonne se confirment et tout ceci pour gagner quelques minutes sur un trajet de plusieurs heures !

    Alors que de gros investissement ont été faits pour améliorer le trajet Clamecy-Auxerre (malheureusement le chantier n’a pas été terminé) nous nous voyons condamnés à perdre 2 trains journaliers (sur 5).

    Ces mesures détruisent tout le travail accompli par les différents partenaires pour encourager le retour au train à l’encontre des grands projets écologiques.

    La qualité de vie dans le Haut-Nivernais est de nouveau menacée par une décision comptable prise sans tenir compte du souhait des habitants.

    Les élus de la liste Objectifs Clamecy.

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  • (21/10/2014 – Rix)

    Mme la Présidente, mesdames, messieurs

     
    Par cette intervention, j’attire votre attention sur la gravité de la situation médicale de notre territoire

    Depuis quelques temps la presse s’est fait écho de l’état de santé de notre territoire.

    Je vous propose quelques éléments de réflexion après avoir pris le pouls d’une population sous tension afin d’établir un diagnostic de notre situation.

    Mme la Présidente la démographie médicale fait débat dans  notre communauté et c'est tant mieux.

    Sur la  présence de la médecine généraliste, nous pourrions dire que le patient est dans un état de santé satisfaisant.

    Sur la présence d'autres praticiens, le constat vital est inquiétant : le territoire est exangue  (dépourvu de vie, de vigueur et  de force).
    Mme la Présidente, malgré nos alertes lors de la campagne municipale, et en quelques mois seulement, notre territoire a perdu plusieurs de ses praticiens dont un gynécologue, un ophtalmologiste, un O.R.L. et  deux chirurgiens-dentistes.

    Quels sont donc les mots (M O T S) ou les maux (M A U X) qui vous ferons prendre conscience de la gravité de notre situation ?
    On constate cette dégradation continue de l’état de santé depuis 2004 sachant qu’en 2011 Clamecy avait 6 généralistes, 1 homéopathe, 1 gynécologue, 1 cardiologue, 1 ophtalmologiste  et 3 dentistes !

    Il est vrai que certains se sont déplacés  récemment de  quelques kilomètres… pour des raisons de performance fiscale.

     On peut regretter ces dispositifs mais cela ne peut en rien occulter votre immobilisme depuis 2008  pour anticiper ces départs et mettre en place des actions propres à retenir et favoriser la présence de médecins spécialistes et de chirurgiens-dentistes.

    Mme La présidente, êtes-vous  en accord avec un de vos adjoints qui affirme sur ce point  dans la presse :  « qu’il n’y a pas le feu… » ?

    Votre intervention sur FR3 Bourgogne n’a pas permis d’éclaircir cette discordance de vue (alors que cet adjoint  était à vos côtés).

    Quelle conclusion pouvez-vous tirer de ce désaccord quant à sa participation à votre bureau municipal ?

    Mmes et M.  il est possible de sortir notre malade de son coma,  d'inverser cette tendance et de réinstaller des praticiens médicaux.

    Depuis 2008, Mme la Présidente, qu’avez-vous fait ?Quels remèdes avez-vous prescrits pour contrer cette pénurie ?
    Pourquoi ne pas avoir anticipé en créant une maison des spécialistes basée par exemple au Centre Hospitalier ?
    Le Conseil de surveillance serait-il déficient pour ne pas avoir travaillé (sur) le sujet?
    Depuis la fermeture de la Maternité, vous n’avez pas eu l’audace de mettre en place une véritable politique de l’offre de soin visant à résoudre les problèmes d’exode des praticiens médicaux.
    Je suis conscient Mme la Présidente que vous avez certainement eu quelques contacts et discussions mais je considère qu’il est temps d’aller plus loin et d’élargir la compétence  santé à la CCVY qui deviendrait porteuse du projet de soin.
    Il semble évident que l’Intercommunalité est plus pertinente que la seule commune de Clamecy pour prendre à bras le corps ces difficultés.
    En premier, il nous faut créer des conditions de confort  qui puissent attirer les médecins sur notre territoire.

    Où en est par exemple le projet de télé Transmission et de médecine partagée ?

    Mais aussi,  qu’en est-il du Projet de Pôle Santé ?

    Dans ce domaine de la santé, Mme la Présidente, il vous faut engager une action publique volontariste.

    C’est une urgence pour nos concitoyens dont  les frais de transport se sont ajoutés à d'autres dépenses, et encore faut-il avoir un moyen de transport !

    Il faut défendre le droit à l’accès aux soins pour les plus fragiles.

    Mme la Présidente, avec le support du Contrat Local de Santé (renforcement de la proximité des soins), votre objectif prioritaire doit être le remplacement rapide de ces praticiens afin que notre territoire ne devienne pas un désert médical.

    Il y a urgence  car nous ne pouvons pas accepter que la situation se dégrade davantage !

    Maintenir l’offre de soin est nécessaire au vu des distances qui nous séparent des autres agglomérations. 

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  • En moins de 10 ans, la bourrasque libérale mondiale, solidement relayée dans notre pays par un gouvernement aux ordres des puissances financières, a réussi à imposer la régression de nos revenus directs ; des salaires et des pensions, comme celle de nos conditions de travail. Elle est en situation aujourd’hui d’imposer une régression historique de nos revenus indirects, c'est-à-dire de notre protection sociale et de nos services publics, comme celle de nos conditions de vie, c'est-à-dire de l’amélioration des équipements mis à disposition.

    Pour le plus grand nombre, le slogan « travailler plus pour gagner plus », s’est transformé en « travailler mal pour vivre mal » ! Plus de 1000 personnes du bassin de Clamecy sont inscrites
    A Pôle Emploi. Des coupures d’électricité sont effectuées alors que ces familles et leurs enfants qui en sont victimes, sont déjà en grande difficulté. Des familles de plus en plus nombreuses ont du mal à joindre les deux bouts ; loyers trop chers, revenus stagnants, coût de la vie en augmentation insupportable.

    Ca fait très mal bien-sûr ! Mais ce n’est pas suffisant encore. Un seul horizon désormais, en Europe comme partout ailleurs : la finance !

    C’est sans doute fort de ce principe qui veut qu’on ne saurait demander aux plus puissants les efforts exigés des classes moyennes et populaires, fort de ce principe d’une morale publique devenue extravagante, mais qui semble toutefois guider aujourd’hui la marche du monde, que nos gouvernants et le premier d’entre eux tout particulièrement, se sentent autorisés à jouer à loisir avec notre démocratie. Pressions sur le cours des actions judiciaires, exercices « de magie » avec des valises de billets ; le spectacle est fourni et varié. Et maintenant que la campagne électorale est en vue, pourquoi se priver, pourquoi se contraindre ? La République « irréprochable » de la droite décomplexée se termine en gaspillage débridé de l’argent des contribuables au bénéfice de la campagne du candidat des rentiers et des héritiers. Avions, salles de spectacles, services d’ordre et de sécurité, tous les moyens publics sont maintenant mobilisés au service d’un clan et de son porte-parole.

    Devant une telle situation faite d’inégalités sociales criantes, d’action politique nationale particulièrement inéquitable et de conduite inacceptable de nos gouvernants, nous dénonçons le financement de la campagne électorale du candidat de la droite par le budget de l’Etat, nous militons pour la mise en œuvre d’une réforme fiscale garantissant une juste répartition de l’effort entre les citoyens et pour faire cesser toute atteinte au services publics et de protection sociale.

    Oui, une autre voie politique est possible au service du plus grand nombre ; et cette voie est infiniment souhaitable Vous aurez les moyens d’y contribuer lors des prochaines élections présidentielles et législatives en vous déplaçant massivement pour voter et en choisissant alors les candidats de gauche. Nous vous appelons donc à rejoindre l’indispensable mobilisation populaire que la situation économique et sociale dangereuse exige aujourd’hui ! Nous souhaitons à chacune et chacun d’entre vous une bonne année 2012, faite des nécessaires bonheurs individuels et familiaux, ainsi qu’une année permettant de renouer collectivement avec l’espoir du progrès social !

     

    tribune_libre_régis_bertrand


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  • Toi,
    En début d'année, nous appelions à des voeux particulièrement robustes pour faire de 2011 un cru d'action publique de qualité pour Clamecy et les Vaux d'Yonne. A la fin du premier semestre, force est de constater que notre appel n'a pas été vraiment comblé. C'est rien de le dire, et c'est assez terrible pour l'avenir ! Mais quels voeux auraient pu renverser ce mur d'orgueil et d'incompétence contre lequel on fracasse aujourd'hui toute espérance ? ce mur pour autant, si lourd du poids des plus misérables habitudes ; ce mur qui bouche tout horizon, interdit tout projet, il nous faudra bien le démonter. Non? A défaut, il n'est pas besoin d'être devin pour imaginer le destin qui nous est promis. Les derniers et mauvais chiffres du recensement sont la pour nous l’indiquer.
     
    Avec une communauté de communes en asphyxie et une commune en insuffisance respiratoire croissante, la vitalité de I' action publique locale en effet, est singulièrement faible aujourd'hui. Manifestement, les élus responsables de la communauté de communes des Vaux d' Yonne sont restés dans I' incapacité de définir un budget pour cette année. Manifestement, les élus responsables de la ville de Clamecy n'ont été capables de définir qu'un budget dans lequel la dépense quotidienne a vampirisé tout investissement d'avenir et de développement. C'est la dure et triste réalité, et elle n'est vraiment pas réjouissante.
    Pour ajouter a la « gaieté » du tableau, force est de constater encore que I' atmosphère dans laquelle ces événements se déroulent n'est pas plus réjouissante que leur pénible résultat. Quelle image lamentable ! Un sommet a été atteint en la matière, quand des vice-présidents de la communauté de communes des Vaux d'Yonne se sont prononcés ouvertement contre le projet de budget sans faire valoir la moindre velléité de démission de leur poste, c'est-a-dire en continuant à percevoir tranquillement leur indemnité. Faut-il que l'esprit civique et de responsabilité publique ait déserté notre ville et sa région a ce point pour que nous en arrivions la !
    Mais une chose est de constater le désastre, et une autre chose est de proposer. Alors que nos élus d'opérette jouent au « c'est pas moi qu'a commencé, c'est l'autre » et autres jeux politiciens tous plus « utiles » les uns que les autres, histoire de garder leurs petites places ou de piquer celle du voisin, I 'Etat peut mettre en œuvre en toute tranquillité sa reforme des collectivités décidée en fin d'année dernière. Avez-vous entendu parler de la définition d'une nouvelle carte des intercommunalités lors des dernières réunions publiques? Avez-vous entendu un responsable des Vaux d'Yonne s'exprimer à ce sujet durant ces derniers mois? Non bien-sûr ! II n'est pas douteux cependant qu'après la diffusion de ces lignes, l ‘envie en viendra a certains. Tant mieux !
    L'occasion est donc là, pour nous ressaisir collectivement de notre organisation territoriale, de lui tracer quelques objectifs réalistes et d’explorer les voies du rapprochement plus étroit entre communes et communauté de communes, qui sera seul de nature à nous faire retrouver des marges de manœuvres financières. Le temps n'est plus à camper sur des prérogatives bient6t ridicules d'être adossées a des moyens budgétaires de plus en plus insignifiants pour I ‘action féconde et de plus en plus insupportables pour les contribuables et leur pouvoir d'achat.
    Un beau et enthousiasmant débat est à lancer. De belles perspectives sont à construire, qui réuniraient dans un même élan productif ce qui est aujourd'hui trop divise. S'il est juste de dire que I' on ne construit bien que sur des ruines, tous les espoirs alors nous sont permis. Car en matière de ruines, nous sommes généreusement pourvus. Que viennent maintenant les constructeurs ! Toi, toi, toi ....

    RB

     




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