Par les temps qui courent... le Chant de Jean Ferrat, est à entendre et à réentendre
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mardi 10 mai 2011 - 21:25
Martine Aubry n'étant pas venue dans la Nièvre, c'est son prédécesseur à la tête du PS, François Hollande, qui a pris la parole, après Henri Malcoiffe et René-Pierre Signé.
François Hollande a évoqué l'apparition du visage de François Mitterrand à la télévision ce soir-là, et l'attente de ceux qui ne croyaient plus en l'alternance : "Quand ils n'ont vu que le front, ils n'étaient pas encore renseignés. Il a fallu qu'ils découvrent les yeux et le visage de François Mitterrand pour qu'ils soient submergés par l'émotion."
Pour l'ancien maire de Tulle, le 10 mai 1981 "est une victoire qui restera dans les coeurs sûrement des années." François Hollande a aussi rappelé que c'est de Château-Chinon, en 1974, après une défaite de quelques milliers de voix, "qu'il s'adressa à nous, au-delà de votre ville et de votre département, pour nous dire que la victoire était inéluctable.