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    En hommage aux victimes du drame de Toulouse, la campagne présidentielle a été suspendue pour que nous puissions partager ce grand moment de recueillement et de rassemblement républicain.

    Veuillez retrouver dans ce Flash Actu, le propos tenu par François Hollande à Toulouse en soutien des victimes de cette tuerie.


    19 mars 2012

    J - 34


    "La force de la République face à l'ignominie"

       Elocution de François Hollande 

    Ici s’est produit un terrible drame, horrible – quatre morts, trois enfants, un blessé grave. C’est une ignominie, et je devais être là pour exprimer à ces familles meurtries, mais aussi à cette école juive – car c’est une école juive qui a été visée, l’antisémitisme s’ajoutant à l’abjection –, je devais être là aussi pour exprimer ma solidarité à l’égard de la ville de Toulouse. Et dire que ce n’est pas une école, des Juifs, une ville qui ont été touchés. C’est la France tout entière.

    Et c’est donc la République, dans ce qu’elle a de plus grand, de plus fort, son unité, qui doit répondre face à cette barbarie. L’assassin devra être retrouvé. Le plus tôt sera le mieux, car c’est un danger majeur. Et puis, il y a la demande de protection et de sécurité qu’expriment des familles, qu’expriment aussi des communautés religieuses qui sont touchées parce qu’elles sont, justement, objet de haine.

    La République, c’est la laïcité – et donc c’est la liberté de la religion. Et c’est la protection de tous ceux qui croient, comme d’ailleurs de ceux qui ne croient pas.

     Je suis ici, dans cette école, auprès des familles, auprès des enseignants, pour dire aussi que nous n’oublierons rien : rien de ces enfants tombés dans des conditions atroces, rien de ce directeur d’école qui a vu sa fille assassinée lâchement. Nous n’oublierons rien, pour que la République à chaque fois soit plus grande et plus forte. Parce que la démocratie et la République seront toujours capables défaire la barbarie.

    Voilà les mots que je voulais dire ici même, à l’endroit exact où s’est produit le drame. Il y a des moments où nous devons être tous rassemblés, tous unis autour d’une cause qui nous dépasse chacun d’entre nous, chacune d’entre nous, parce que c’est la cause de l’unité nationale, parce que c’est la cause de la République.

    Voilà le message que j’ai adressé aux familles, aux parents et aussi aux enseignants. 

    Voilà le message qui doit être porté partout en France : celui de l’unité et celui de la force de la République face à l’ignominie. 

     


     


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  • Mot-à-mot, une semaine de campagne, J-37

    Chaque semaine, retrouvez un nouveau numéro de «Mot-à-mot», le résumé graphique d'une semaine de campagne, la nouvelle web-série du PS.

    Chaque semaine, «Mot-à-mot» apporte un regard décalé sur la campagne du candidat-président sortant et des adversaires de François Hollande.

    Au programme cette semaine, les efforts désespérés du candidat sortant pour faire oublier son bilan.

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  • 15 mars 2012

    J - 38

    Le Chiffre du Jour

       
    78 : selon une enquête Viavoice pour Libération, 78% des jeunes déclarent que l'avenir de la France constitue davantage pour eux une source "d'inquiétudes" que d'"espoir". 65% d'entre-eux ne pensent pas à l'avenir "vivre mieux que leurs parents. François Hollande a placé la jeunesse au cœur de son projet et a demandé à être jugé sur un seul objectif s'il est élu : que la jeunesse de France vive mieux en 2017 qu'en 2012.      

    Il a osé dire

      
     "J'ai des obligations (...) ces métallos [venus à Paris depuis la Lorraine] ne sont pas représentatifs". 

    Nicolas Sarkozy, le 15 mars, refusant de rencontrer aujourd'hui à son siège de campagne 200 métallurgistes de l'aciérie ArcelorMittal de Florange. Ces derniers ont été accueillis par des gaz lacrymogènes et 25 cars de CRS.

     

    Le Changement c'est Maintenant


    "François Hollande est la grande espérance de la gauche européenne, et espagnole en particulier, et nous suivons de près sa campagne et ses propositions".

     Alfredo Perez Rubalcaba, secrétaire général du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), lors de sa rencontre avec François Hollande le 15 mars à Paris.

     Florange, Nicolas Sarkozy face à son cynisme
     
     

    Communiqué de presse de Bruno Le Roux, porte-parole de François Hollande.

    200 métallurgistes d’Arcelor Mittal Florange ont été violemment éloignés du QG de campagne du candidat Nicolas Sarkozy cet après-midi.

    Refusant de recevoir des salariés légitimement inquiets pour l’avenir de leur site, l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy a préféré organiser une confrontation (une de plus !) avec une partie des Français.

    Pire, au lieu de faire profil bas, alors que le gouvernement a multiplié ces derniers mois les promesses et les annonces sans lendemain pour le site de Florange, l’UMP cherche avec un cynisme sans borne à renverser la situation en sa faveur. 

    Au lieu de rassembler les salariés et le bassin de vie de Florange derrière un projet industriel pérenne, le parti présidentiel exige de François Hollande qu’il condamne la manifestation de cet après-midi !

    Que les choses soient bien claires : la seule chose que François Hollande condamne, c’est la crise économique, sociale, politique et morale dans laquelle Nicolas Sarkozy a plongé la France. C’est la raison pour laquelle, si les Français lui accordent leur confiance, il travaillera sans relâche au redressement de notre pays.

    Sa proposition de garantir la poursuite des activités des sites industriels viables abandonnés par leurs propriétaires est le symbole d’un volontarisme attendu à Florange et dans tous les bassins d’emploi frappés par la désindustrialisation.

    Plus que jamais en opposition à Nicolas Sarkozy, candidat des problèmes non résolus, François Hollande entend incarner une présidence des solutions.

    L'UMP et le déni de réalité de la formation professionnnelle
     

    Communiqué de presse de Jean-Paul Denanot, Jean-Patrick Gille, Pascale Gérard, Chargés de l’Enseignement et la Formation professionnels dans l'équipe de campagne de François Hollande  

    Comme d'habitude, Nadine Morano a réagi en des termes très nuancés au discours de Marseille prononcé par François Hollande le 14 mars. La violence cache souvent une ignorance. Et l’ignorance de Madame Morano sur la réalité est flagrante.

    -   On peut pourtant lui rappeler que l’effort massif de ce Gouvernement se traduit surtout par une baisse de 12,5% des crédits emploi formation sur le budget 2012, et par le prélèvement scandaleux de 600 millions d’euros sur le Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels

    -      Depuis 5 ans, l’apprentissage, qui reste une voie de formation initiale, n’a pas du tout été développé massivement par le Gouvernement. Et pour cause, cette voie de formation n’est pas financée par l’Etat, mais par les entreprises qui paient la taxe d’apprentissage (dont une partie transite par le budget de l’Etat) et par les Régions, qui en ont la compétence depuis 1983. En tout état de cause, l’effort consenti par l’Etat sur ce champ représente à peine 20% de l’investissement global assumé par les Régions. Développer les contrats n’a pas de sens si on ne prend pas garde à ce que tous les apprentis puissent aller, dans de bonnes conditions, jusqu’à la fin de leur contrat d’apprentissage. C’est la raison pour laquelle nous avons voté contre la loi Cherpion qui consacre l’apprentissage en intérim, l’apprentissage saisonnier, l'apprentissage à 14 ans, et pire encore, l’apprentissage sans employeur…

    -    Le programme compétences clé, présenté comme un effort massif du Gouvernement, ne résout pas le problème de l’accès aux savoirs de base pour tous les jeunes sortis sans qualification du système scolaire. Ce programme est d’ailleurs tellement minime que les Régions ont dû investir massivement dans le financement de ces formations qui, potentiellement concernent les 150 000 jeunes par an qui sortent de l’Education nationale sans aucun diplôme.

    -       Par ailleurs, le service public de l’orientation, dont la ministre est si fière,  n’est qu’un leurre. A part avoir créé un site internet et mis en place un numéro de téléphone payant, qui souvent renvoie d’ailleurs aux services des Régions, quel a été son apport ?

    -   Enfin, c’est bien ce gouvernement qui en supprimant 77 000 postes d’enseignants a provoqué la suppression de centaines de classes d’enseignement professionnel.

     

    C’est au contraire pour lutter contre cette dure réalité pour nos jeunes que François Hollande a proposé hier un nouveau droit pour tous les jeunes sans qualification, visant à compenser une inégalité par rapport aux jeunes diplômés, au démarrage de leur vie professionnelle.

    Nous mettrons en place un compte formation individuel à deux étages, dont le premier étage sera doté, pour les jeunes sans qualification, d’un « capital » forfaitaire de départ de 20h par an cumulables sur 40 ans de carrière, soit 800 heures mobilisables instantanément, utilisables sans limite de temps,  pour démarrer un parcours qualifiant.


    Retrouvez François Hollande sur facebook
     

     "Chers amis, ceux qui m'ont vu ce soir lors de l'émission "Des paroles et des actes" m'ont vu tel que je suis. Ce que je veux, c'est rassembler les Français. Je ne veux pas les opposer les uns les autres, les diviser. Il nous reste 38 jours jusqu'au premier tour pour convaincre, alors souvenez-vous d’une chose : rien n’est fait, rien n’est gagné. Tenez bon, vous êtes les acteurs de l’espoir!"  

     Retrouvez François Hollande sur facebook en cliquant ici

    Agenda
     

    17 mars 20h30 – Rencontre avec les leaders européens, Martin Schulz, Président du Parlement européen, Sergei Stanishev Président du Parti socialiste européen, Hannes Swoboda, Président du groupe Socialisme et Démocratie au Parlement européen, Pier Luigi Bersani, Secrétaire du PD italien, Sigmar Gabriel, Président du SPD allemand au cirque d’hiver à Paris 110, rue Amelot.












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  • 14 mars 2012

    J - 39

    Le Chiffre du Jour

      
    7,8 : sur l'ensemble des douze derniers mois, le nombre de créations d'entreprises est en baisse de -7,8% par rapport aux douze derniers mois précédents. Pour soutenir les créations d'entreprises et donc l'emploi, François Hollande mettra en œuvre un pacte productif incluant notamment une Banque publique d'investissement régionalisée, un livret d’épargne industrie dédié au financement des PME et une fiscalité plus juste.
        

    Il a osé dire   

    "J'entends monsieur Hollande dire qu'il va bloquer les prix du pétrole. Mais enfin, c'est à pleurer ! Il va bloquer quoi ? (...) Qui peut croire une fable pareille ?"


      

    Nicolas Sarkozy, le 14 mars sur Europe 1. Ce qui est à pleurer, c'est l'inaction du candidat sortant face à la baisse du pouvoir d'achat des Français. François Hollande bloquera les prix de l'essence pour une durée de 3 mois durant lesquels il rétablira la TIPP flottante pour rembourser au contribuable le gain indu qu'encaisse l'État lors d'une hausse des prix du pétrole. 

            

     

    Le Changement c'est Maintenant

       


    "Pourquoi voulez-vous que le candidat sortant fasse pendant les 5 prochaines années ce qu'il n'a pas été capable de faire durant les 5 dernières ! (...) Je suis le candidat de la cohérence (...) Oublions la page qui vient de se tourner et écrivons ensemble une nouvelle page qui porte notre espérance !"

     

    François Hollande, le 14 mars lors de son grand meeting à Marseille. 

      


     Pour que le 15 mars ne soit plus jamais la date de la peur
     

     

    Tribune de Bruno Le Roux, porte-parole de François Hollande, publiée sur liberation.fr

     

    Le 15 mars marque une échéance importante dans le déroulement de l'année, regardée avec ambivalence, selon la situation des Français. Pour bon nombre d'entre eux, cette date représente le début des beaux jours, l'arrivée du printemps et des journées qui rallongent. Pour d'autres, certes une minorité, mais une minorité qui ne cesse d'enfler d'année en année, cette échéance est une menace, elle sonne le glas, elle tranche comme la lame de l'échafaud. Elle vient clore la période de la trêve hivernale.

    Non pas que les Français modestes n'assument pas leurs responsabilités ou s'enterrent dans l'assistanat comme le laisse honteusement penser le candidat-sortant, mais pour beaucoup d'entre eux, chaque mois est vécu comme un nouveau supplice, la difficulté à joindre les deux bouts se fait toujours plus forte et payer son loyer devient un calvaire. Tout augmente, la vie est toujours plus chère, la hausse du pouvoir d'achat, promesse d'un président à la déroute, relève de l'illusion.

    Et pourtant il faut résister. Résister pour éviter l'indignité d'être mis dehors. Résister car la première des dignités humaines, c'est encore de se loger. Résister car rechercher un loyer plus modeste constitue purement et simplement une chimère car entre 2000 et 2010 les loyers à la relocation ont augmenté de 47% ! Résister enfin, parce que la politique de ce gouvernement en faveur de l'offre de logement et du logement dit social s'est réduite à une peau de chagrin. La Fondation Abbé Pierre estime à 3,7 millions le nombre de mal logés dans notre pays. Et près de 8 millions sont dans une situation de logement précaire qui rend leur avenir guère plus rassurant. Oui, le 15 mars, beaucoup de Françaises et de Français ont peur.

    Le programme le plus efficace

    Notre devoir est de leur apporter notre soutien, celui de François Hollande, dans ce grand rendez-vous de la responsabilité que constitue l'élection présidentielle. Il faut également leur apporter des réponses. Force est de constater que François Hollande est à ce jour le seul à prendre pleinement la mesure de la crise du logement qui traverse la France et bouleverse le quotidien de millions de Français. Il est le candidat doté du programme le plus efficace pour répondre à cette priorité.

    La situation est d'autant plus urgente que les dépenses de logement représentent un quart du budget des ménages et que la politique d'accession à la propriété conduite durant 10 ans a abouti à une hausse des prix de vente de logements de 140% ! Quelle impréparation, quelle improvisation, pour finalement aboutir à l'augmentation de 30% des droits à construire... Cette politique n'a eu pour autre conséquence que la paralysie des transactions en cours et la pression - toujours à la hausse avec ce gouvernement - du prix des terrains.

    Construire 2,5 millions de logements

    Ce que propose François Hollande est ambitieux : tout mettre en œuvre contre la spéculation des prix des logements, développer l'offre et en particulier celle du logement social.

    L'objectif est précisément affirmé : construire 2,5 millions de logements, de tous les types : intermédiaires, sociaux et étudiants. Le tout en imposant la règle des trois tiers bâtis : un tiers de logements sociaux locatifs à loyer modéré, un tiers de logements en accession sociale, un tiers de logements libres.

    Notre responsabilité, c'est aussi de mettre un terme au cynisme de certains maires qui préfèrent que leur commune s'acquitte d'une taxe plutôt que de mettre en œuvre l'impératif de logements sociaux prévus par la loi SRU. Cette situation frise l'anti-Républicanisme. Elle est en tout cas insupportable. C'est la raison pour laquelle François Hollande s'engage à rehausser l'objectif de logement social à 25% et à multiplier par cinq les sanctions pour les communes récalcitrantes. La République rattrapera les maires qui jouent contre l'intérêt général.

    Doubler le plafond du livret A

    D'autres dispositifs permettront de mettre en œuvre cet objectif en matière de logement social. Il s'agira tout d'abord du doublement du plafond du livret A, dont le produit est alloué à la construction du logement social. A ce jour, il existe 60 millions de livrets A et 5 millions d'entre eux ont atteint le plafond de 15 300 euros. Le doublement à 30 600 euros nous permet d'espérer raisonnablement un gain de 12 à 20 milliards d'euros, qui permettront d'atteindre les objectifs que nous avons fixés.

    Cette mesure fera d'ailleurs sauter l'ensemble des verrous à la construction de logements sociaux et mettra les moyens de l'Etat au service de cette politique par la disposition gratuite des terrains publics aux communes qui s'engagent à bâtir des logements sociaux dans les 5 ans. Il est insupportable d'imaginer que l'Etat s'enrichisse sur le dos des communes engagées à l'édification de logements sociaux. La ville de Paris est un bel exemple tant elle a été confrontée à l'intransigeance de l'Etat dans sa volonté de se porter acquéreur du foncier public. En matière de logements, le Président-sortant n'a cessé de se compromettre d'incantations en faux-semblants. François Hollande fait lui le choix de se doter des moyens de son ambition en matière de logement social.

    Quant aux zones où les logements poursuivront cette course effrénée au loyer plus cher, toujours plus cher, inaccessible pour la majorité des Français et sans le moindre lien avec la situation économique, il y aura un encadrement des prix à la relocation. Rien ne sera laissé au hasard. François Hollande a fait du logement l'une de ses priorités, avec un message fort : le problème du logement n'est pas un problème circonscrit à quelques grandes agglomérations : c'est un problème quotidien, c'est un enjeu d'Etat. François Hollande y mettra donc des moyens d'Etat pour faire que plus jamais le 15 mars ne soit la date de la peur.


     Caricature, impuissance, agressivité: programme du candidat sortant
     

     

     

    Communiqué de presse de Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole de François Hollande

     

    Ce matin sur Europe 1, le président-sortant a confirmé une fois de plus le sens donné à sa candidature : la caricature, l'impuissance et l'agressivité.

    La caricature, lorsque le candidat-sortant a prétendu que François Hollande allait bloquer "les prix du pétrole" en s'adressant à "l'Arabie Saoudite et à l'Iran", alors que le candidat socialiste a proposé, à juste titre, de bloquer les prix à la pompe - et non à la production ! - comme le prévoit la législation, avant l'introduction d'une TIPP flottante qui permettra de rembourser au contribuable le gain indu qu'encaisse toujours l'Etat sous l'autorité de ce gouvernement, lors d'une hausse des prix du pétrole.

    L'impuissance éhontée lorsqu'il a appelé les consommateurs à faire jouer la concurrence face à la hausse des prix du pétrole, alors même que cette hausse est généralisée sur l'ensemble du territoire, confirmant par là-même qu'il ne ferait absolument rien contre cette situation insupportable pour des millions de Français.

    L'agressivité, lorsqu'il a qualifié de "ridicule" la proposition de François Hollande de retirer le mot "race" de la Constitution. Ce n'est pas le "ridicule" mais bien l'agressivité de la réaction du candidat-sortant qui a "dépassé les bornes". Sur un sujet aussi grave, un tel symbole serait un message immense adressé à toutes les victimes de discriminations.

    Caricature, impuissance, agressivité, tels sont les mots d'ordre du candidat-sortant pour faire diversion et masquer une fois de plus son manque cruel de propositions et l'échec de sa politique durant 5 ans.

    Agenda
     


     

    15 mars – François Hollande, invité de l’émission Des Paroles et Des Actes sur France 2 à partir de 20h35.

     

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  • Samedi 17 mars, une journée qui va compter

    Cher-e ami-e,

    Vous aussi vous avez envie de changement et vous voulez nous aider à y parvenir ? Stéphane Le Foll et Vincent Feltesse ont tenu à vous adresser un message important :

    Samedi 17 mars, 1000 points de rencontre seront mis en place partout sur le territoire pour vous renseigner sur les différentes manières d’agir pour la campagne.

    Découvrez le point de rencontre le plus proche de chez vous en cliquant ici

    N’hésitez pas à nous rendre visite samedi. Ensemble nous allons ouvrir la porte au changement.

    Le changement c’est vous, le changement c’est maintenant.


    L'équipe de campagne de François Hollande <campagne@francoishollande.fr>

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