• Direction provisoire du Parti socialiste

    Conseil national du samedi 8 juillet 2017

    La direction provisoire paritaire est composée de 16 membres :

    8 femmes :

    - Nadège AZZAZ
    - Ericka BAREIGTS
    - Carole DELGA
    - Frédérique ESPAGNAC
    - Nathalie KOENDERS
    - Valérie RABAULT
    - Laurence ROSSIGNOL
    - Isabelle THIS SAINT-JEAN

    8 hommes :

    - Guillaume BACHELAY
    - Luc CARVOUNAS
    - Matthias FEKL
    - Régis JUANICO
    - Jean-Marc GERMAIN
    - François KALFON
    - Emmanuel MAUREL
    - Rachid TEMAL

    La direction provisoire est assistée du Trésorier du Parti, Jean-François DEBAT, ainsi que par trois collectifs :

    Coordination des élu-e-s :

    - Olivier FAURE (Président du Groupe Nouvelle Gauche à l’Assemblée nationale)
    - François REBSAMEN (Président de la FNESR)
    - Christine REVAULT D’ALLONNES – BONNEFOY (Présidente de la DSF)
    - En raison du renouvellement sénatorial, le/la prochain-e président-e du groupe socialiste au Sénat

    Coordination des territoires :

    - Hussein BOURGI
    - Emmanuel GREGOIRE
    - Mathieu KLEIN
    - Pernelle RICHARDOT

    Porte-parolat :

    - Karim BOUAMRANE
    - Sébastien DENAJA
    - Julien DRAY
    - Estelle GRELIER

    La direction provisoire nommera des chargé-e-s de mission pour des tâches précises tout en veillant à ce que les secrétaires nationaux poursuivent leurs actions.

    Les instances du Parti socialiste, dont le Bureau national, restent en place et suivront les travaux de la direction provisoire.

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  • Disparition d’Henri Emmanuelli : le Parti socialiste saisi d’une infinie tristesse

    C’est une infinie tristesse qui saisit aujourd’hui la famille socialiste à l’annonce de la disparition de l’une de ses plus grandes figures, Henri Emmanuelli.

    Membre de notre Parti dès sa fondation en 1971, il fut l’un des compagnons de François Mitterrand et rapidement une personnalité unique et incontournable.

    Élu dès l’âge de 32 ans à l’Assemblée nationale, Henri Emmanuelli resta tout au long de sa vie, ancré à ses convictions comme aux Landes.

    Pour tous les socialistes, Henri Emmanuelli était une voix. Une voix rocailleuse. Quelques fois sévère mais toujours maîtrisée. Une voix au service de si nombreux combats politiques, de la conquête à l’exercice du pouvoir.

    En 1981, Henri Emmanuelli participe au premier gouvernement de Pierre Mauroy. Il exercera, par la suite, de nombreuses responsabilités à la tête de l’État comme au Parlement.

    Dans une période politique mouvementée, nous n’oublierons pas qu’il sut être un Président de l’Assemblée nationale exemplaire et respecté sur tous les bancs.  Ses présidences successives de la Commission des Finances auront marqué une étape importante du renforcement du travail parlementaire.

    Aucun grand débat n’était indifférent au leader socialiste qu’il était. Henri Emmanuelli savait plus que tout autre conjuguer la conviction et la bienveillance. Il pouvait être féroce dans le débat mais d’une grande élégance dans la vie. Il avait l’âme socialiste chevillée au corps et était toujours très respectueux des autres.

    Premier secrétaire du Parti socialiste de 1994 à 1995, il contribua – par son sens des responsabilités – au redressement de notre formation et – par  son engagement- à la campagne présidentielle de 1995. De ses expériences, il cherchait continuellement à convaincre et à transmettre.

    Pour nous, Henri Emmanuelli restera toujours l’enfant des Landes, dont il avait l’accent mais surtout la passion. Président du conseil départemental, il sut façonner ce territoire en y développant les services publics et en contribuant à l’essor de son tissu industriel et économique.

    Le Parti socialiste exprime ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches. Il se tient au côté de tous les camarades aujourd’hui endeuillés.

    Jean-Christophe CAMBADÉLIS

    Premier secrétaire du Parti socialiste

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  • Dans une tribune publiée par franceinfo, l'Association des professeurs d'histoire et de géographie (APHG) répond au candidat à la primaire de la droite François Fillon, qui souhaite réécrire les programmes d'histoire comme "un récit national".

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  • Les députés ont décidé vendredi en commission de prolonger jusqu’en 2024 le prélèvement de 0,3% sur les mises des jeux de loterie, afin de financer le développement de la pratique du sport, dans le sillage de la candidature de Paris aux Jeux olympiques.

    L’amendement du rapporteur Régis Juanico (PS) au projet de budget 2017, qui devra être revoté en séance le 4 novembre pour être intégré au texte, propose de prolonger au-delà de 2017 le prélèvement exceptionnel de 0,3% sur les sommes misées dans le cadre des jeux de loterie, mis en place pour participer au financement de la rénovation des stades de l'Euro 2016, et de fixer le plafond de prélèvement à 25 millions d’euros.

    "Les ressources ainsi dégagées devraient venir abonder le Centre national pour le développement du sport (CNDS) afin de renforcer l’héritage sportif des grands évènements sportifs internationaux, et notamment la candidature de la ville de Paris aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024", a expliqué M. Juanico.

    En effet, "l’organisation en France de près d’une trentaine de grands événements au cours des prochaines années constitue une occasion unique pour permettre une croissance du nombre de licenciés et pour renforcer la capacité des clubs à accueillir de nouveaux licenciés dans de bonnes conditions", selon ce député de la Loire.

    "Le principal risque réside néanmoins dans la saturation des clubs qui seraient peu préparés à un afflux significatif de nouveaux pratiquants (...) par manque d’infrastructures, d’éducateurs sportifs et de capacités d’accueil", a-t-il plaidé.

    Les ressources financières ainsi mobilisées auraient vocation à financer un fonds favorisant la pratique du sport en France : équipements sportifs de proximité, soutien aux projets éducatifs "passerelles" entre les clubs et les établissements scolaires, dispositif "J’apprends à nager", accompagnement des clubs avec la pérennisation d’emplois sportifs qualifiés, et enfin "soutien aux initiatives sportsanté bien-être dans les territoires".

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